Portrait of lives

Les visages de la ville

Et si la ville avait des visages, des souffles, des regards cachés dans ses murs ?
Avec Portrait of Lives, j’explore la rencontre entre l’humain et l’espace urbain, là où la géométrie des façades dialogue avec la fragilité d’une expression. Chaque image devient une respiration entre architecture et émotion, une écriture sensible du réel.

Dans cette série, je poursuis ma démarche de sublimation, une technique et une philosophie qui métamorphose le réel en matière lumineuse. Par la postproduction et le jeu des textures, je révèle la profondeur des visages urbains : des êtres traversés par la ville autant qu’ils la traversent.
La sublimation agit ici comme un passage — du visible à l’invisible, du concret à l’intime. Le décor n’est plus un simple fond : il devient partenaire du portrait, miroir de la présence humaine dans le tumulte de la cité.

Chaque image est une trace de vie captée dans un instant suspendu. Le béton, le verre ou le métal s’y mêlent aux émotions, aux couleurs et à la lumière. Ces portraits de vie ne racontent pas des individus isolés, mais un ensemble de vibrations urbaines, une mémoire collective où l’anonymat devient beauté.

Portrait of Lives esquisse une autre manière de voir le portrait : non plus comme représentation, mais comme fusion entre l’être et l’espace, une sublimation du quotidien où la ville devient le prolongement du visage humain.

Et si la ville avait des visages, des souffles, des regards cachés dans ses murs ?

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